Jamais le mystère de la vie ne sera élucidé. Nous avons alors le choix : ou nous tourmenter, terrifiés par notre devenir, ou admirer ce mystère, accepter notre insignifiance dans le tout et profiter de notre passage en paix avec nous mêmes et avec les autres. Éloge du nonsens est un poème infini sur les tourments de l'Homme, un appel à l'oubli de soi, une heureuse résignation.
Si Anzar est influencé par des auteurs divers allant de Marc Aurèle à Jean d'Ormesson en passant par Cioran et Khayyâm pour lequel il a une affection particulière, il a été fortement
marqué par la douceur et la tolérance de ses grands-parents, musulmans pratiquants, et par des rencontres et des amitiés bienveillantes qui ont toujours questionné ses propres
convictions et croyances.