Cet ouvrage indique les limites d'une géophilosophie impliquée dans la rage appropriatrice des êtres pourtant parlants que nous sommes, porte l'attention sur la mémoire des souffrances infligées aux autres, y compris la nature. Celle-ci n'a de cesse de se manifester à même notre guerre entre nous et contre geo (la terre), demandant ainsi d'être reconnue dans ses droits. Véritable appel à un dialogue réciproque qui nous engage dans un amour qui oblige.