Robert Kong

Je suis né le 02 Mars 1966 à NdossonII Arrondissement du Nord-Makombe, Département du Nkam, domicilié dans le Moungo.

J'ai exercé dans beaucoup de paroisses, aumônier, ensuite principal au Collège Alfred Saker pendant six ans; je suis actuellement président de la Région Synodale du Moungo-Centre, enseignant de philosophie à la Faculté de Théologie Protestante et des Sciences religieuses de Ndoungué, fondateur du Cercle de Réflexion et de philosophie dont le but est de promouvoir les œuvres de Soren Kierkegaard et de les interpréter et commettre les ouvrages et articles pour le développement.
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Renseignements

Titre(s), Diplôme(s) :
Ph-D en théologie

Institution de travail :
+ 237 677669277
Eglise Evangélique du Cameroun Région Synodale du Moungo-Centre
et Faculté de Théologie Protestante e des SCIENCES Réligieuses de Ndoungué

Fonction(s) actuelle(s) : Religieux(se), philosophe et enseignant

Pays d'origine : Cameroun

Bibliographie

Bibliographie (sur le site des éditions L'Harmattan)

Autres parutions

La problématique de la coexistence de l’ivraie et du bon grain
La maison de l’imprimeur, Douala, 2009.

L’auteur touche ici le problème de société, de spiritualité et de métaphysique au sens répugnant du terme. II s’inspire de la parabole de Jésus de l’ivraie et le bon grain pour affirmer l’existence du mal dans le monde, les types de démons et leurs manifestations sur les vivants. Robert Kong propose les moyens spirituels pour la contre offensive.



2. Crimes et responsabilité métaphysique au Cameroun, Perspectives.

Editions AfricAvenir, Exchange et Dialogue, 2011.

Une œuvre théologique et philosophique qui relève le paradoxe existentiel au Cameroun. L’auteur souligne deux catégories de crimes : Le crime au sens de l’élimination physique et le crime qui est le détournement des fonds publics. Tous ces criminels de sang et en col blanc seront appelés à répondre de leurs actes devant Dieu. L’auteur note avec le philosophe et théologien danois S. Kierkegaard que « S’il est requis d’aller au ciel à pied, il ne sert à rien d’emprunter les avions et les voitures confortables pour y arriver.»



3. Quand l’homosexualité me tient ou les Miettes de la pensée.



Editions AfricAvenir, Exchange et Dialogue, 2012.

L’auteur revient à la charge avec un ouvrage provocateur. Il dénonce les tares qui reculent les sociétés africaines : les autodafés dans les milieux universitaires, l’homosexualité, la volonté de nuire, de détruire ou d’ensorceler sont autant des forces de démobilisations opposées à l’esprit de créativité, d’innovation et d’invention. En Afrique, le travail scientifique s’inscrit dans une logique ambiguë, sans perspectives. l'Afrique est improductrice sur le plan technique. Il convient de préciser avec Césaire que le nègre n'a inventé ni poudre, ni boussole. Les religions qui devaient aider les peuples Africains à sortir de la caverne, sont ravagées par les intrigues, les coups-bas, l’hypocrisie, la recherche des postes et du bien-être. C’est pourquoi, l’auteur note avec S. Kierkegaard : « Je vais recueillir les vaines larmes que vous avez répandues à l’Eglise pour me présenter en accusateur le jour du jugement. »



4. Comment faire Echec à L’oppresseur,

EDITIONS Asong, douala, 2014.

L’ouvrage repose essentiellement sur l’irrationalité et la spiritualité. Comme le premier, Echec à l’oppresseur relève le défi du paranormal sur les sciences dites cartésiennes. Le cannibalisme mystique, les transes, les rêves érotiques, les envoûtements, certaines formes de névroses que subissent les contemporains, ne relèvent ni de l’hystérie, ni des névroses obsessionnelles, mais du domaine du paranormal. L’auteur souligne une brève étude sur la démonologie, les types de manifestations sur les vivants. Tout en notant quelques témoignages révélateurs et troublants, il propose des pistes christothérapeutiques utiles aux chrétiens.



5. Ou bien… Ou bien…

La maison de l’imprimeur, Douala, 2014.

Ce dernier ouvrage s’inscrit dans l’ordre anthropologique, théologique et philosophique. L’auteur fait le point sur l’évolution alambiquée de la pensée. La polygamie qui est un aspect culturel africain, autrefois diabolisée par les premiers missionnaires, reste une controverse dans le monde occidental. Contre toute attente, une frange de la population occidentale adopte au 21e siècle l’homosexualité comme modèle de vie et envisage de l’imposer en Afrique comme condition sine qua non pour obtenir de l’aide au développement. Le monde s’effondre à nouveau en Afrique qui est invitée à choisir la polygamie ou l’homosexualité : Ou bien…Ou bien…

contact : kongrobert2000@yahoo.fr



La problématique de la coexistence de l’ivraie et du bon grain
La maison de l’imprimeur, Douala, 2009.

L’auteur touche ici le problème de société, de spiritualité et de métaphysique au sens répugnant du terme. II s’inspire de la parabole de Jésus de l’ivraie et le bon grain pour affirmer l’existence du mal dans le monde, les types de démons et leurs manifestations sur les vivants. Robert Kong propose les moyens spirituels pour la contre offensive.



2. Crimes et responsabilité métaphysique au Cameroun, Perspectives.

Editions AfricAvenir, Exchange et Dialogue, 2011.

Une œuvre théologique et philosophique qui relève le paradoxe existentiel au Cameroun. L’auteur souligne deux catégories de crimes : Le crime au sens de l’élimination physique et le crime qui est le détournement des fonds publics. Tous ces criminels de sang et en col blanc seront appelés à répondre de leurs actes devant Dieu. L’auteur note avec le philosophe et théologien danois S. Kierkegaard que « S’il est requis d’aller au ciel à pied, il ne sert à rien d’emprunter les avions et les voitures confortables pour y arriver.»



3. Quand l’homosexualité me tient ou les Miettes de la pensée.



Editions AfricAvenir, Exchange et Dialogue, 2012.

L’auteur revient à la charge avec un ouvrage provocateur. Il dénonce les tares qui reculent les sociétés africaines : les autodafés dans les milieux universitaires, l’homosexualité, la volonté de nuire, de détruire ou d’ensorceler sont autant des forces de démobilisations opposées à l’esprit de créativité, d’innovation et d’invention. En Afrique, le travail scientifique s’inscrit dans une logique ambiguë, sans perspectives. l'Afrique est improductrice sur le plan technique. Il convient de préciser avec Césaire que le nègre n'a inventé ni poudre, ni boussole. Les religions qui devaient aider les peuples Africains à sortir de la caverne, sont ravagées par les intrigues, les coups-bas, l’hypocrisie, la recherche des postes et du bien-être. C’est pourquoi, l’auteur note avec S. Kierkegaard : « Je vais recueillir les vaines larmes que vous avez répandues à l’Eglise pour me présenter en accusateur le jour du jugement. »



4. Comment faire Echec à L’oppresseur,

EDITIONS Asong, douala, 2014.

L’ouvrage repose essentiellement sur l’irrationalité et la spiritualité. Comme le premier, Echec à l’oppresseur relève le défi du paranormal sur les sciences dites cartésiennes. Le cannibalisme mystique, les transes, les rêves érotiques, les envoûtements, certaines formes de névroses que subissent les contemporains, ne relèvent ni de l’hystérie, ni des névroses obsessionnelles, mais du domaine du paranormal. L’auteur souligne une brève étude sur la démonologie, les types de manifestations sur les vivants. Tout en notant quelques témoignages révélateurs et troublants, il propose des pistes christothérapeutiques utiles aux chrétiens.



5. Ou bien… Ou bien…

La maison de l’imprimeur, Douala, 2014.

Ce dernier ouvrage s’inscrit dans l’ordre anthropologique, théologique et philosophique. L’auteur fait le point sur l’évolution alambiquée de la pensée. La polygamie qui est un aspect culturel africain, autrefois diabolisée par les premiers missionnaires, reste une controverse dans le monde occidental. Contre toute attente, une frange de la population occidentale adopte au 21e siècle l’homosexualité comme modèle de vie et envisage de l’imposer en Afrique comme condition sine qua non pour obtenir de l’aide au développement. Le monde s’effondre à nouveau en Afrique qui est invitée à choisir la polygamie ou l’homosexualité : Ou bien…Ou bien…

6.Quand la raison déraisonne la raison
Il s'agit des limites de la raison dite cartésienne qui ne saurait comprendre le paranormal qui est aussi une forme de raison.